Ils ont dit
Presse
- "One night on the road" sur le site Froggy Dilight
"Pied de plomb"… mouais, ça pourrait être un nouveau super héros, un genre de Wolverine mutagèneet reprotoxique, contaminant de l’environnement, et potentiellement cancérigène. Il serait notre kryptonite à nous, simples mortels. Heureusement qu’il a eu l’idée de traduire tout ça pour devenir Leadfoot Rivet ! Ouf ! Nous avons échappé au pire. Enfin, non, je ne crois pas, mais c’est une autre histoire.
Leadfoot Rivet est Alain Rivet, chanteur de blues-rock-soul depuis les années 60. One night on the road est l’enregistrement d’un concert, où les gens se taisent pour regarder de la musique. Entre temps, il a fondé un label (Dixiefrog), organisé des concerts et bu l’apéro avec tous les grands noms du blues et de la soul.
Bip bip… Mise en garde de précaution utile à tout usager de la platine qu’il doit faire attention… One night on the road est porteur du virus de l’ondulation du croupion. Je vous conseille de l’attraper fissa, Mère Patrie vous sera reconnaissante de manger-bouger cinq fois par jour sans alcool.
Leadfoot Rivet est à l’univers ce que le chocolat est à la déprime : un excellent remède, une sage décision, une tentation, une explosion de saveurs, une myriade de couleurs. D’une voix de velours légèrement usée par ce qu’il se doit de substances toxiques, d’un piano et de cordes envoutantes, Leadfoot Rivet emporte son public sur les rives des fleuves américains, dans les canyons déserts, sur les mers en furie, dans les escapades enneigées, sous des orages endiablés, au cœur de disputes conjugales et de crises de jalousie pour le blanc du poulet.
Je l’imaginais en santiags et blouson à franges, j’avais oublié le chapeau et la barbe fleurie. Je repérai ses rimes dans un américain parfaitement maîtrisé, le répertoire français m’avait échappé. J’entendais la profondeur du blues de son âme, je n’avais pas repéré la maturité inhérente à l’expérience d’une vie bien remplie et rondement.
Mais bien sûr qu’il parle d’amour, parce que même chanter la peine c’est chanter l’amour. Leadfoot Rivet incarne passionnément l’humanité, avec ce qu’elle a de rêves et d’espoir pour s’enrichir et apprendre de ses erreurs. One night on the road est une bande-annonce parfaite pour chaque petit moment et grands évènements où vous sentez votre cœur affleurer là, tout près. Emouvant et intense.
Nathalie Bachelerie
ISSUU.COM
Leadfoot Rivet - Southern Echoes_Booklet
Outstanding record after astounding record, Leadfoot Rivet is paving his own way to a very unique spot in the blues, soul & roots music domain. His new offering “Southern Echoes” is a vibrant tribute to the golden age of these styles without being out of date, or a bland copy of his mentors. It’s today’s vision of times and places anchored in this music, kind of “Muscle Shoals and Memphis revisited” by an artist so deeply immersed into southern music whose powerful and moving voice paints colourful pictures in the 15 songs included (mostly his own) that rank him as “a top notch songwriter and a poet as well” (Blues News). Leadfoot Rivet is always balancing between wry and witty humour and insightful feelings, depicting life’s ups and downs with a forte on southern topics and imagery.
Highresaudio
BLUES AGAIN
Le blues dans tous ses étatsOn dirait le Sud… et c’est bien de cela qu’il s’agit. Ça ressemble à la Louisiane, mais au Texas aussi, et à la Georgie, au Tennessee, et encore à l’Alabama. Alain Rivet déploie un sonorama de southern americana, country, soul, blues, gospel, jazz, avec le concours de quelques pointures. Les guitares s’éveillent sous les doigts de Jean Paul Avellaneda (qui s’est aussi investi dans la production), Stan Noubard Pacha et Anson Funderburgh, Slim Batteux est aux claviers, la basse est tenue par Thomas Weirich et les fûts résonnent sous les coups de Stéphane Avellaneda, quant à l’harmonica, c’est Leadfoot qui souffle dedans. Le groove est puissant, la voix est grave et bien posée. Rivet signe 11 titres et fait 4 reprises. Il connaît la musique ou plutôt ces musiques, et la barre est assez haute. Mais c’est lui qui l’a placée et le résultat est là, on pense à Johnny Cash ou Salomon Burke. Au fil de l’écoute qui nous entraîne dans un étonnant voyage musical, les genres sont variés mais tout s’enchaîne sans rupture de ton d’une plage à l’autre. Leadfoot Rivet fait preuve d’une parfaite maîtrise et d’une réelle décontraction. Avec une puissance contenue et sans jamais forcer le trait il est au top du début à la fin, il navigue d’un style à l’autre avec aisance et enthousiasme. C’est une très belle réussite et on se laisse emporter. Pour faire bonne mesure, ces Southern Echoes ont été enregistrés aux studios EVS à Oraison… en plein Sud bien sûr.
Gilles Blampain
ZICAZIC le Zicazine
Il est sans doute le plus américain des bluesmen français, à moins que ce ne soit le contraire, et il a tellement accompagné ou été accompagné par les meilleurs que l’on finit par ne plus savoir s’il est un grand sideman ou au contraire un grand entertainer, à moins que ce ne soit les deux … Ce que l’on sait par contre, c’est que non content d’être un grand artiste, Leadfoot Rivet est un superbe songwriter qui laisse son âme trainer depuis belle lurette sur les routes poussiéreuses du Sud des Etats Unis et qu’il en rapporte à chaque fois des trésors de blues et de folk blues, et ce n’est pas ce nouvel effort du chanteur et guitariste qui nous démentira puisque l’on y trouve une collection de chansons qui forme au bout du chemin une sorte de roadtrip à la Kerouac … Soutenu par une équipe de fines gâchettes où l’on remarque forcément Anson Funderburgh, Stan Noubard-Pacha et Jean Paul Avellaneda aux guitares, Slim Batteux aux claviers ou encore Stéphane Avellaneda à la batterie, Leadfoot Rivet met comme toujours le pied sur l’accélérateur et nous propose une quinzaine de morceaux dont pas moins de onze compositions, des titres sur lesquels planent les ombres de Stax ou encore de Muscle Shoals avec à la clef des chansons bien remuantes et bien énergiques et juste en face de superbes blues ballads à vous dresser le plus court des poils … De « The Bullfrog » à « Ghost Train », de « Highly Educated Fool » à « Damned Tourists ! » ou de « Miss Paranoia » à « The Game Of Love », c’est un mélange subtil où la voix chaude et puissante se marie à merveille à des instrumentations du plus bel effet que l’on croise, le résultat d’ensemble dépassant de la tête et des épaules ce que l’on peut attendre d’un simple album de blues pour nous offrir un véritable road book qui passe des clubs miteux aux chapelles et des juke joints aux concert halls en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. A la fois chanteur de blues, crooner et preacher, Leadfoot Rivet nous prouve une fois encore toute l’étendue de son talent et ce n’est pas pour nous déplaire, loin de là ! Un bon album de musiques américaines Made in France qui n’a rien à envier à ce qui se fait là-bas …
Fred Delforge
Blues in South - January 2016
The BITS INTERVIEW by Wendy Smith
Lire l'article en page 6 (en anglais)
Chronique dans « TWOJ BLUES MAGAZINE »
(Pologne) Hiver 2015 / 2016
LEADFOOT RIVET « Southern Echoes »
Pas facile d’expliquer comment ce barde, poète et ACI français a pu transformer sa Provence natale en Deep South des Etats Unis !!
Il avait déjà prouvé avec son album studio précédent qu’il est un superbe bluesman parfaitement immergé dans cette culture et il peut en aborder tous les styles comme un véritable caméléon.
Des 15 titres inclus, la majorité est de sa plume et sa voix grave peut plaire à tous les auditeurs évoquant parfois même un crooner !!! Il fait même les chœurs également !
Les mélodies restent dans l’oreille tellement elles sont efficaces. Le grand Anson Funderburgh prête son talent de guitariste tout comme Stan Noubard-Pacha et JP Avellaneda qui est aussi le réalisateur de l’album.
Chronique du CD sur Israbox.com
(en anglais et en russe)
"Big voiced Leadfoot should have been born in Louisiana where some of his Rivet cousins are still livin'.
For the last 40 years he has been suckin' american music's bone marrow first hand from a bunch of the great artists he used to work
with like Bobby Bland, Sam Myers, Albert King, Wilson Pickett, Tommy Castro, Jimmy Thackery or Zachary Richard. All he is missing is an american passport or a green card !
The atmosphere of this LIVE is electric, intense and really moving.
Leadfoot offers us a raw slice of blues & spicy soul.
Cherry on the cake, his long time friend Amos Garrett offered him some magic guitar choruses on two songs !"
Télérama "Sortir" du 3/06/2014
Ce soir au Sunset
"Est-ce parce que ses parents étaient chanteurs d'opéra qu'il possède une voix aussi puissante ?
Toujours est-il qu'on a rarement entendu chanter le blues avec une telle ampleur de ce côté-ci de l'Atlantique.
Depuis plus de quarante ans, Leadfoot Rivet sert la musique du diable avec passion. Et si l'on en juge par son dernier album Live, trempé dans la soul, avec moult solos d'orgue, la prestation scénique
s'annonce bouillonnante."
Frédéric Péguillan
Mac § Guitare
Music in Belgium (Belgique)
Par François Becquart le 2 mai 2012
Welcome to my mongrel music world
Le Zicazine (France)
Par Fred Delforge le 9 juin 2012
Welcome to my mongrel music world
Blues Blast Magazine (USA)
25/07/2013
Welcome To My Mongrel Music World
Leadfoot Rivet (je suppose prononcé Ri-vay) est le bluesman français Alain (Al) Rivet et il a des références impeccables, ayant joué avec une pléiade de bluesmen et blueswomen qui ont visité la "Belle France". C'est un modeste mais efficace et enraciné harmoniciste qui peut aussi gratter de la guitare si besoin est, mais il a surtout une super voix et peut écrire des paroles du niveau des tous meilleurs.
Les 17 titres du CD vont de "How I love
them good ole blues !" (qui clôt l'album),
une chanson exceptionnelle qui mérite
d'être reprise par quelque GRAND nom du blues, à "Fried okras", une ode à ce plat classique de la cuisine sudiste.
En chemin, on trouve des histoires domestiques comme "Friend lover wife"
et le délicieux "Apples dipped in candy".
"The worst guitar player in town" est,
comme tant d'autres des chansons de
Mr Rivet, construite avec un soupçon de country et une touche d'humour.
Ce titre en particulier aurait été parfait pour Johnny Cash, avec ce chouette thème ironique de "chacun est meilleur que moi".
Les musiciens font un superbe travail aussi, mais, à part une liste de noms sur la jaquette, on ne peut dire qui joue
quoi et quand en particulier en ce qui concerne la participation de John Mooney, as de la guitare slide de la Nouvelle Orléans et il est difficile de déterminer dans quel(s) morceau(x) il joue (notice du traducteur : le journaliste n'a pas su trouver le fascicule logé dans un des rabats !!).
Al chante dans un anglais parfait sans une trace d'accent français mais avec des inflections sudistes !! J'aurais aimé que les mêmes standards s'appliquent aux notes de pochette qui auraient profité d'avoir été rédigées par quelqu'un dont l'anglais est la langue maternelle (l'auteur est brésilien). (nb: non, l'auteur est argentino-américain !). En tous cas, une parution à applaudir !
Magazine BLUES NEWS (Germany)
Automne 2012
Mongrel musique ? C'est de cette manière que Rivet, surnommé "Leadfoot" par Larry Garner, appelle son approche du blues. Il l’interprète avec un zeste de fado portugais, de milonga argentine, de són cubain, de chanson française et de sonorités orientales. Mais ne vous méprenez pas, nous ne parlons pas ici de musique du monde mais de 17 morceaux enregistrés en acoustique dans un style qui évoque aussi Johnny Cash ou John Prine.
Le chant de Rivet est parfois presque parlé et parfois pleinement chanté ; et curieusement, dans l’une de ses chansons, il prétend être : « The worst guitar player in town »... ce n'est bien sûr pas vrai du tout ! Non seulement Rivet est un authentique auteur-compositeur mais ses textes font de lui un poète.
Sa chanson « Friend lover wife » est certainement l'une des plus sincères et l'une des moins bêlantes des chansons d'amour jamais écrite. « Split personality » et « I feel like I'm sinking » montrent également que Rivet n'a pas peur de regarder ses propres questionnements en face et « A godsend » révèle clairement son attitude contre toute forme de fanatisme religieux. Même si tous les autres titres de cet album ne sont pas aussi exceptionnels, ceci n'est pas un réel problème. Vu la durée de l'enregistrement, on peut affirmer qu'au moins les trois quarts sont tout aussi dignes d’intérêt. En outre, cela n’enlève rien ni à la qualité de la réalisation ni à la cohésion du groupe (avec Fred Chapellier qui est actuellement l’un des meilleurs guitaristes).
Dans l'ensemble cet album est vraiment bien réalisé et hautement recommandable !
GUITARIST (F) :
Chanteur incontournable du paysage blues français.
BLUES AGAIN (F) :
Ovation ! Le blues très personnel de Leadfoot Rivet.
BLUES MAG (F) :
Voix grave et puissante pour des morceaux pleins de feeling et d’humour.
TRAD MAG (F) :
Un magnifique cd, notre coup de cœur du mois !
BLUES REVUE (USA) :
La voix bourrue de Leadfoot RIVET emmène aussi efficacement le funky blues que le traditionnel, un duo vocal inspiré avec Joanna CONNOR, deux autres sommets du laidback « Greyboy blues ».
BLUES & co (F) :
Un blues de haute volée.
ZICAZIC (F) :
Un album événement qui n’a aucun complexe à avoir face aux productions
états-uniennes !
TWOJ Blues (Poland) :
Un disque étonnant pour une étonnament bonne musique ! Le quasi louisianais Leadfoot RIVET, une voix forte, rugueuse et ample avec une excellente expressivité et musicalité : une musique excitante !
L’AISNE Nouvelle (F) :
La classe comme on l’aime, discrète et pénétrante, on ne s’en lasse pas !
Le MAINE LIBRE (F) :
Le plus américain des bluesmen français.
OUEST France (F) :
Tombé dans la marmite du rhythm’n’blues !
Le CRI du COYOTE (F) :
Son blues ravi : grand monsieur et bel album.
La PROVENCE (F) :
Du grand blues !
LE SOIR (B) :
Une voix blues qui compte.
WILER Zeitung (CH) :
Leadfoot l’impétueux, est absolument authentique dans ses chants d’amour
et de travail.
BLUES NEWS (D) :
Comment ne pas croire qu’il vient de Louisiane ! Confondant !
FNAC Bulletin (EU) :
Un des rares à combiner culture française et américaine. La constante est l’émotion.
BLUES POWER Magazine (USA) :
Un diable de chanteur ! Interprétations de classiques et originaux pleines d’âme.
EL PAÏS (Esp.) :
Une voix pleine de passion et d’émotion.
BCR (F) :
Un blues atypique par une grande voix expressive.
LA STAMPA (It.) :
Un des pères du blues en France : une grande voix.
ABS Mag (F) :
On apprécie sa voix grave et puissante : un vrai chanteur. Un album fort plaisant.
BLUES MATTERS (UK) :
La preuve que les bluesmen continentaux européens peuvent être comparables aux américains. Un secret trop bien gardé !
Holger PETERSEN (CAN) CBC DJ / président de Stony Plain records :
J’apprécie beaucoup l’interprétation aisée, vécue et pleine d’âme de Leadfoot..
Beaucoup d’influences sudistes dans ses chansons authentiques en forme d’histoires qui véhiculent une conscience mondiale avec des touches d’humour. L’ensemble est complété par des reprises bien sélectionnées et des invités intéressants.
MIGHTY SAM Mc CLAIN (USA) fameux chanteur de soul/blues :
Voix, interprétation, choix des titres, je suis très impressionné !
MIGHTY MO RODGERS (USA) grand ACI de soul/blues :
Tu ressens VRAIMENT le blues !
Sam MYERS (USA) légendaire chanteur de blues:
Accueillez chaleureusement ce crooner de blues !
GUITARIST Magazine :
“Chanteur incontournable du paysage blues français”